Yébé, diplômée de l’INSEEC Grande Ecole, gagnante du concours de création d’entreprise CCI de Versailles

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Yébé, diplômée de l’INSEEC Grande École depuis 2016 témoigne de son cursus et de ses expériences professionnelle

Présentez-vous

Je m’appelle Yébé DIOUF et je suis une ancienne étudiante de l’INSEEC Grande Ecole Paris. J’ai intégré l’INSEEC en 2013 à la suite du concours Evolution 2.
Avant d’arriver à l’INSEEC, j’ai effectué un Master 1 en Management International à l’Université de Picardie Jules Verne. Auparavant, j’avais effectué une licence en Langue
Étrangère Appliquée (Allemand et Anglais) à l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3.
A l’INSEEC Grande Ecole j’ai intégré la filière Finance alors que je n’avais aucune expérience financière.
Dès 2014, j’ai fait un stage en finance de marché en Middle Office pour les produits dérivés dans une banque d’investissement qui m’a en quelque sorte lancé. Ensuite, j’ai été Assistante de trésorerie et Financement à l’occasion d’un autre stage avant d’intégrer à partir de 2015, la Société Générale pour un stage en analyse de crédit.
Après cela, j’ai fait une année de césure pour acquérir encore plus d’expérience et j’ai finalement été recrutée en tant Chargée de relation bancaire en 2016 à l’issue de mon Master.

Pourquoi avez-vous choisi l’INSEEC GE ?

Je connaissais l’INSEEC par ma famille dans laquelle beaucoup ont fait l’INSEEC et mes amies.
Je souhaitais intégrer une grande école de commerce pour la valeur ajoutée qu’elle pouvait m’apporter et je savais que l’INSEEC allait pouvoir développer mes compétences, mon
savoir-faire et mon employabilité.
J’ai pu trouver des stages et un emploi facilement grâce à mon parcours à l’INSEEC.

Quelle était votre spécialisation ? Quels cours vous ont aidé dans votre projet professionnel ?

Ma spécialisation était la Finance d’entreprise et je voulais vraiment intégrer la filière Finance même si les avertissements de M. Bonnard quant à l’exigence et la difficulté de la filière m’avaient quelque peu effrayé parce que je n’avais aucune expérience.
J’ai tout de même tenu bon et ai travaillé probablement plus que beaucoup d’autres et ai obtenu des résultats. J’ai été positivement remarquée par mes camarades et mes
professeurs.
Je garde finalement un très bon souvenir de mes années à l’INSEEC.
Les cours qui m’ont particulièrement aidé sont la finance d’entreprise et la trésorerie d’entreprise, mais c’est généralement l’ensemble des cours de la filière Finance qui m’ont aidé.

Qu’est-ce que l’INSEEC GE vous a apporté concrètement ?

L’INSEEC m’a beaucoup apporté en termes de savoir-faire et savoir-être, mais j’ai pu aussi bénéficier de la bonne réputation de l’école auprès des entreprises et cela m’a permis de trouver des stages et un emploi peut-être plus facilement.
L’INSEEC est une expérience à vivre aussi bien d’un point de vue académique que social.
Je m’y suis fait énormément d’ami(e)s pour la vie. Ce sont des personnes avec qui je suis toujours en contact et je collabore même avec certains dans le cadre de Capill’Care notamment Ted KAKPEGNAN.



Accompagnement de l’école dans votre projet professionnel ?

Nous avons eu énormément de cours et d’accompagnement relatifs à la rédaction de CV et de lettre de motivation.

Il y a eu aussi la mise à disposition d’un portail pour les entreprises.
J’ai pu participer aussi aux rencontres avec les entreprises et au cours desquels j’ai pu déposer mon CV qui avait immédiatement été retenu par la Société Générale. De fait, oui, l’INSEEC nous a beaucoup aidé dans notre projet professionnel.

Pourriez-vous nous parler de votre poste à la société générale et de votre entreprise ?

J’ai obtenu mon poste à la Société Générale en 2016 suite à mon année d’alternance. Au cours de mon année de césure j’avais déjà été en stage à la Société Générale et je m’y étais
faite une bonne réputation. Lorsque j’ai postulé un an plus tard pour un CDI, j’ai été recrutée et intégrée aux équipes. C’est une expérience très positive qui dure depuis 7 ans et qui me permet d’être en relation quotidienne avec des trésoriers de très grandes entreprises avec lesquelles nous devons régulièrement relever de grands défis.
Concernant mon entreprise Capill’Care, je l’ai créée en 2019 suite à une histoire personnelle.
A l’époque, je venais d’intégrer la filière Finance et j’étais très stressée de pouvoir tout gérer et réussir mon année. Je m’étais fixé cet objectif qui m’a apporté du stress et une maladie qui a entraîné la chute de mes cheveux. Quelques années plus tard, je suis parvenue à faire repousser mes cheveux grâce aux pouvoirs des plantes. Au cours de ma recherche de solution naturelle pour faire repousser mes cheveux, j’ai découvert l’ayurvéda qui est une science indienne ancienne qui m’a aidé. Consciente que mon cas n’est pas isolée, j’ai décidé de créer Capill’Care pour aider des femmes et des hommes à retrouver de beaux cheveux sains et naturels avec des produits innovants et prêts à l’emploi.

Pourriez-vous nous parler du concours de création d’entreprise organisé par la CCI de Versailles ?

Le concours à la création d’entreprise organisé par la CCI de Versailles m’a été soufflé par mon conseiller bancaire qui me soutenait dans ma démarche entrepreneuriale.
Il m’avait parlé de ce concours pour me faire connaître auprès de la CCI, mais également de la Banque populaire en présentant mon dossier et mon innovation et ainsi espérer remporter un prix.
La démarche a été gagnante puisque j’ai été la lauréate, mais j’ai obtenu bien plus encore puisque j’ai pu montrer la crédibilité et la viabilité de mon entreprise et derrière, obtenir un financement pour développer mon entreprise.

Mis à jour le 20 janvier 2023